DNA : Rachel

Profondément troublée par ce qu’elle a vécu, elle éprouve un sentiment de culpabilité, reprochant à elle-même de ne pas avoir crié pour demander de l’aide. Sara, cherchant à la rassurer, lui explique que son absence de réaction est parfaitement compréhensible, car elle était en état de sidération, un mécanisme de défense fréquent lors de tels événements traumatiques.

Dans le cadre de l’enquête, Rachel mentionne également qu’une rupture difficile avec un ancien partenaire, Allan Malzo, s’est produite récemment. Sara connaît cet homme puisqu’il s’avère qu’il est également son psychiatre. Toutefois, lors de l’agression, Allan se trouvait à Nice pour un congrès, écartant ainsi toute suspicion à son égard. Les enquêteurs poursuivent leurs recherches et retrouvent un masque et un élastique dans une poubelle, objets potentiellement liés à l’agression.

Par ailleurs, Manon, une voisine de Rachel, tente de la réconforter en lui proposant son aide pour tout besoin, insistant sur le fait qu’elles habitent près l’une de l’autre et que cela peut être utile en cas de besoin urgent. De son côté, Nordine ne peut s’empêcher de se sentir coupable de ne pas avoir raccompagné Rachel chez elle le soir de l’agression, s’imaginant que cela aurait peut-être pu empêcher ce drame. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>