Pour Me Mohymont, tuteur ad hoc des cinq bambins, cela ne fait aucun doute, vu la répétition des maltraitances : « Dès leur naissance, ils ont été frappés, sous-alimentés, noyés. Que faut-il de plus ? » Mais du côté du parquet , et bien entendu de la défense, on souligne que l’intensité des souffrances doit être insupportable pour les victimes. Or, si lors du simulacre de noyade, Tricia a cru mourir, cet acte n’est objectivé par aucune preuve médicale et semble avoir été ponctuel.



