Françoise Hardy en fin de vie, euthanasie : les derniers mots de Jacques Dutronc

«Jacques et moi sommes d’accord sur beaucoup de choses et il ne veut pas que je souffre de façon inhumaine à cause des séquelles de traitements trop lourds et de l’âge. Qui voudrait ça ?». Dans Paris Match, elle expliquait qu’elle n’avait «pas peur de mourir», mais «très peur de souffrir». L’idée de la souffrance de la séparation avec son fils et de Jacques Dutronc, de ses mots, «les deux êtres que j’aime le plus au monde», était aussi ce qui la peinait le plus.