Frédéric François au plus mal

« On a peur, on ne sait pas comment ce virus s’attrape et s’il n’est pas dans l’air. Comme c’est la grande inconnue, on est très méfiant (…) j’ai la peur au ventre (…) C’est un ennemi invisible qui frappe au hasard, les jeunes comme les moins jeunes, personne ne peut prétendre être en totale sécurité. Alors, j’appelle les miens, mes cousins dans le Piémont une des régions d’Italie les plus touchées, ceux de Sicile…