PBLV, Gabriel

Boher, déterminé à aller jusqu’au bout de son enquête, confronte enfin Darius. Il lui annonce froidement qu’il a identifié tous les coupables dans chacun des meurtres mis en scène dans son jeu. Mais au lieu de s’arrêter là, Jean-Paul décide de frapper là où ça fait mal. Il le provoque en déclarant d’un ton cinglant :

« Vous êtes un petit joueur. Vous n’avez ni l’esprit machiavélique ni le génie sombre d’un véritable meurtrier… Et c’est ça qui est rassurant. » Darius encaisse le coup en silence, mais son regard trahit une fureur à peine contenue. Son égo, fragilisé par ces paroles, est en train de vaciller.

Une fois Boher parti, il se tourne vers sa mère et laisse éclater toute son arrogance blessée : « Je ne suis pas un amateur, je suis le meilleur. » Sa main, crispée sur le poignet de sa mère, témoigne de la rage qui bouillonne en lui.