Un mal-être qui n’a pas disparu avec le temps, au contraire. Arrivé en primaire, puis au collège, le jeune Nicolas est victime de harcèlement. “Ce sont les gens qui poussent à se regarder. J’étais moi et les gens m’insultaient”, s’est-il souvenu.

“J’étais la cible de plein de gens, même ceux qui ne me connaissaient pas dans la rue me demandaient si j’étais une fille ou un garçon, alors que ce ne sont pas des questions que l’on se pose en primaire ou au collège.”



