Constance tente de tempérer son mari. Elle lui assure que Marc a changé avec le temps. Il n’est plus aussi impulsif qu’avant, elle le sent plus réfléchi. Pourtant, Teyssier reste sur ses gardes. Il se sent impuissant et cherche désespérément une solution pour aider son ami à garder la tête hors de l’eau. Il se dit que lui proposer un nouveau défi professionnel pourrait peut-être le sauver.
Plus tard, Marc se tient seul à l’économat. Son regard est figé sur les bouteilles d’alcool devant lui. C’est à ce moment que Teyssier le rejoint et entame la conversation. Il lui expose une idée : participer au prestigieux concours des écoles de France. Ce projet a un objectif clair — battre Castelmont. Mais plus encore, c’est une main tendue, une opportunité pour Marc de se reconstruire.
Marc, d’abord sur la défensive, repousse la proposition. Il ne veut pas de la pitié de Teyssier, il le lui dit franchement. Il refuse d’être traité comme un cas désespéré. Mais Teyssier insiste avec sincérité. Il ne s’agit pas de pitié, mais d’un vrai défi qui pourrait lui changer les idées. Il lui demande ce service, non pas en tant que directeur, mais en tant qu’ami. Touché, Marc finit par accepter. Il promet de tout donner pour ne pas le décevoir. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
