Malgré sa douleur, Clotilde choisit de ne pas quitter l’Institut sans marquer le coup. Sur l’initiative de Rose, elle accepte de dispenser un dernier cours aux élèves de deuxième année. Elle veut leur laisser un souvenir marquant, quelque chose de fort, à la hauteur de leur engagement durant l’année.
À la suite de ce moment intense, un pot de départ s’organise de manière improvisée. L’ambiance se veut festive, mais l’amertume flotte dans l’air. Entre les rires forcés et les regards émus, le cœur de chacun balance entre nostalgie et incertitude. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>