Pendant ce temps, Bérénice cherche un avis sur sa dernière création culinaire. Curieuse de savoir ce que les autres en pensent, elle demande à Constance ce qu’elle pense du mélange original « crémeux pêche basilic ». Mais Constance, pour une raison qu’elle ne précise pas, ne lui donne pas de réponse immédiate. Ce silence laisse Bérénice sur sa faim, frustrée de ne pas avoir de retour clair. Elle fait alors goûter sa préparation à sa sœur, espérant obtenir une réaction plus précise.
Lorsque sa sœur goûte enfin au dessert, elle se contente de dire que c’est bon. Mais pour Bérénice, cette réponse reste trop vague. Elle insiste, attendant davantage de détails. Elle lui lance un « mais encore ? » presque suppliant. Constance, avec son franc-parler habituel, lui rappelle alors qu’elle n’est pas Emmanuel, et qu’elle ne peut pas lui fournir une critique gastronomique digne d’un chef de l’Institut.
Elle en profite pour lui suggérer d’aller travailler sur ses créations directement à l’Institut, car la cuisine familiale est actuellement monopolisée pour la préparation de cocktails et de salades de pâtes. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>