Pour l’heure, l’enquête se poursuit pour faire la lumière et pour savoir, notamment, s’il est dû à une défaillance technique ou à une erreur humaine.

Cependant, les premières constatations permettent déjà de se rendre compte de la violence du choc : les passagers de l’avion présentent chacun « un polytraumatisme très important, incompatible avec toute chance de survie », a fait savoir le procureur de la République de Saint-Nazaire au lendemain du drame.



