J’ai cru que c’était un médicament, alors que c’était un poison. Je veux en parler comme d’une maladie, pas d’une désinvolture. Quand on est dépendant à la cocaïne, on est piégé, comme avec l’alcool ou le sexe… J’étais dépendant aux trois, ça a gâché ma vie privée », avait-il confié en 2019, dans les colonnes du Parisien.
Une vie privée définitivement gâchée depuis cette terrible soirée du 10 février, pour un Pierre Palmade qui a longtemps combattu d’autres démons que ses dépendances, notamment la disparition de son père.
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