Jean-Pierre Bouyer était déjà été surveillé par les enquêteurs en 2018, alors qu’il proférait des menaces virulentes contre Emmanuel Macron sur Facebook. Il aurait confié à un proche appelé Henri vouloir frapper le chef de l’État à l’aide d’un couteau en céramique, dont la lame aurait été indétectable aux portiques de sécurité, à l’occasion de « l’itinérance mémorielle » du président dans l’Est.
La section antiterroriste du parquet de Paris avait alors ouvert une enquête préliminaire, confiée à la DGSI le 31 octobre 2018. Les policiers avaient placé immédiatement le sexagénaire sur écoute et surveillaient de près ses contacts. Ils avaient notamment remarqué qu’une réunion s’était tenue le 5 novembre au soir chez David. Toutes les infos en cliquant sur SUIVANT en bas de page >>




