Ces empreintes n’étant pas inscrites au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG), les experts espèrent les identifier via un lien de parentèle. Cette technique, utilisée pour la première fois en 2012, a déjà fait ses preuves dans d’autres dossiers, notamment dans l’affaire d’Elodie Kulik dont le père d’un des agresseurs était fiché, ce qui a permis de retrouver son assassin.
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