« Des coups de bâton, de fouet, de raquette, de balai ». « J’ai vécu beaucoup de violences physiques, beaucoup de violences verbales, et je suis l’un des enfants qui a le moins vécu toutes ces violences ».
Aussi fait-il appel à des assistantes sociales pour leur raconter le quotidien de sa fratrie: « coups de bâton, de fouet, de raquette, de balai ». Mais aussi des périodes où ses petits frères et sœurs ont été attachés, jusqu’à 23 heures sur 24. Sans oublier des « scènes de sexualité ».
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