Afin d’affiner la surveillance de l’épidémie dans l’Hexagone, Santé publique France a révisé sa stratégie pour ne plus cibler les variants Alpha (anglais), Beta (sud-africain) ou Gamma (brésilien) et désormais traquer activement trois mutations, communes à différents variants classés comme préoccupants (VOC) ou d’intérêt (VOI) : E484K, E484Q et L452R. Par exemple, la mutation E484K, qui a été repérée dans 23 % des tests positifs qui ont été criblés au 28 juin, est portée par les variants Beta et Gamma. Et elle a même été acquise par le variant “B.1.1.7”, le nom de code du variant britannique, tout comme la mutation E484Q, repérée dans 0,7 % des tests positifs criblés en France.
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