Même si cet événement n’était pas déclaré en préfecture, un dispositif de contrôle avait été mis en place aux abords du parcours pour verbaliser le non-respect des gestes barrières », a-t-elle précisé. Le maire de Marseille a, lui aussi, fait part de son indignation sur les réseaux sociaux.

« Rien ne justifie qu’on détruise les efforts collectifs pour endiguer le virus ! Rien ne justifie qu’on profane le lieu des effondrements de la Rue d’Aubagne ! Rien ne justifie qu’on s’en prenne à des jeux d’enfants et à des équipements publics ! Je suis en colère. L’attitude égoïste de quelques irresponsables est inacceptable ! Ils devront répondre de leurs actes devant la justice », a écrit Benoît Payan sur Twitter, dans la soirée.


