Mathis, pilote de moto

Moins d’une semaine après, ils ont décidé de faire don de ses organes. « Il a fallu accepter », admet Aurélie, sa mère, dans la vidéo en tête de cet article.

Après son accident, le petit garçon, en état de mort cérébrale, avait été rapatrié en urgence à l’hôpital de Montpellier. Il a fallu aller vite. Pourtant, le choix n’est pas simple. « Soit, on ne fait pas le don et légalement, comme il est mort, il faut le débrancher et le laisser partir. Soit, on l’envoie au bloc opératoire pour faire don de tous ses organes. Et on lui dit au revoir dans la chambre, encore en vie », explique le couple.