Si beaucoup s’attendaient au résultat final, notamment à la qualification de certaines candidates très suivies, la sélection dévoilée a tout de même surpris une partie du public. Depuis l’élection de Miss Tahiti, le 28 juin dernier, de nombreux internautes s’étaient enthousiasmés pour Hinaupoko Devèze. Sa prestance et son regard captivant avaient suscité un véritable engouement, certains assurant déjà qu’elle possédait toutes les qualités nécessaires pour briller au niveau national, voire plus largement encore sur d’autres concours internationaux.
Ce n’est donc pas son nom qui a étonné les téléspectateurs, mais bien la composition générale du Top 12. Les candidates ont été appelées les unes après les autres : Miss Normandie, Miss Côte d’Azur, Miss Limousin, Miss Champagne-Ardenne, Miss Nouvelle-Calédonie, Miss Roussillon, Miss Guadeloupe, Miss Île-de-France, Miss Picardie, Miss Languedoc, Miss Tahiti et Miss Auvergne. Une sélection qui, malgré son caractère officiel, a immédiatement suscité de nombreuses réactions, certains regrettant l’absence de plusieurs participantes considérées comme incontournables, dont Miss Provence, Miss Nord-Pas-de-Calais ou encore Miss Aquitaine, souvent citées parmi les favorites.
Les réactions n’ont d’ailleurs pas tardé à se multiplier sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes ont exprimé leur étonnement, voire leur incompréhension. Beaucoup estimaient que certaines candidates méritaient davantage de reconnaissance et auraient dû accéder à la demi-finale. Ce sentiment partagé a alimenté les discussions toute la soirée, donnant lieu à un véritable débat numérique autour des critères de sélection, du rôle du jury et de la subjectivité inhérente à ce type de concours national. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
