Le comité de production, s’appuyant sur le principe de la présomption d’innocence, estime qu’il n’a pas à prendre de mesures punitives tant que l’affaire n’est pas jugée. L’équipe se dit néanmoins prête à respecter la décision de Slimane si ce dernier choisit de ne pas se présenter, tout en rappelant qu’elle est capable de gérer ce genre de situation.

Les accusations se précisent davantage lorsque l’avocate du plaignant révèle de nouveaux détails. Elle indique que, dans les heures suivant la confrontation initiale, Slimane aurait continué à solliciter son client en lui envoyant une série de SMS et de vidéos, lesquelles seraient à caractère sexuel, voire explicitement pornographiques. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>



