Olivier Veran, les français

Selon lui, « l’idée n’est pas de punir, de sanctionner, d’ostraciser. » Olivier Véran parle sans détour de son souhait : éviter un engorgement des hôpitaux. « L’idée est de dire : maintenant on n’a plus le choix. On n’hésite plus parce qu’on ne peut plus remplir nos hôpitaux, on ne peut plus vivre comme ça, sous la menace d’une vague épidémique parce que cinq millions de Français font le choix de ne pas se protéger », conclut-il