PBLV, Apolline

Un peu plus tard, Ariane travaille tranquillement dans son bureau lorsque Durieux s’y présente. Il tente de faire amende honorable, prétendant vouloir repartir sur de nouvelles bases. Il lui propose d’apprendre à mieux se connaître. Mais son ton change rapidement.

Face à une Ariane visiblement mal à l’aise, Durieux lui demande avec un sourire ambigu s’il lui fait peur. Il poursuit en complimentant son côté rebelle, puis lâche une phrase glaçante : il dit avoir le pouvoir de faire ce qu’il veut d’elle, y compris de la muter à sa guise.

Ariane ne se laisse pas impressionner. Elle le regarde droit dans les yeux et lui répond qu’elle ne se laissera jamais faire. Elle ajoute, avec fermeté, qu’il se trompe lourdement sur elle : elle n’est pas une victime. Durieux, narquois, conclut par un défi : « On parie ? » avant de quitter la pièce. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>