Zoé décide de montrer à sa mère le plan de braquage élaboré par Louis, expliquant qu’il faut passer par la laverie pour atteindre l’objectif final. Ariane, encore dubitative, la questionne sur le butin, mais Zoé répond qu’elle en saura plus le moment venu. Ariane, résignée, accepte d’aider sa fille à se préparer pour cette mission risquée. Enfile une tenue noire, Zoé s’exerce à voler discrètement un objet. Avec Ariane en tant que chronomètreuse, elle parvient à déplacer une plante en 24 secondes, un temps qu’elle juge insuffisant pour le casse.

De son côté, au commissariat, Jean-Paul et Patrick pataugent dans leur enquête. Ils peinent à comprendre les liens de Louis Robbie avec la résidence Massalia et sont perdus quant à ses intentions. Morgane, leur collègue, partage son étonnement en confiant : « Il avait l’air d’un type correct, toujours courtois et sympathique avec tout le monde. Je l’ai vu parler plusieurs fois à Zoé. » Jean-Paul, qui connaît le passé de Zoé, sent l’inquiétude monter en lui.
De retour chez elle, Ariane examine minutieusement le plan de braquage et laisse échapper, visiblement préoccupée : « Je m’inquiète pour toi, Zoé. » Elle se rapproche d’elle, la voix remplie d’affection : « Je t’aime, Zoé. J’espère que tu comprendras qu’une mère doit protéger sa fille. » Dans un geste surprenant, Ariane attache soudain Zoé à une chaise avec des menottes, une mesure de dernier recours pour empêcher sa fille de se lancer dans ce dangereux projet.




