Troublée, Nisma se confie à Apolline. Elle partage avec elle ses doutes croissants au sujet de Vadim. Mais Apolline adopte une posture plus tranchée. Pour elle, l’amour aveugle Nisma. Elle lui fait remarquer que si Vadim était réellement innocent, il ne lui demanderait pas de mentir. Ces paroles résonnent en Nisma, semant encore plus de confusion dans son esprit.
Ne pouvant plus ignorer ses doutes, Nisma prend une décision radicale. Elle se rend au commissariat pour témoigner. Chaque pas qu’elle fait vers le bureau des enquêteurs alourdit son cœur. Que doit-elle dire ? Doit-elle révéler ses soupçons, au risque d’accuser à tort un homme qu’elle aime ? Ou doit-elle taire ses doutes et prendre le risque d’entraver la vérité ?
Alors qu’elle franchit les portes du commissariat, Nisma sent la pression l’écraser. Elle sait que ses paroles auront des conséquences, quelles qu’elles soient. Chaque seconde qui passe alimente un combat intérieur entre son attachement pour Vadim et son besoin de justice. La vérité est là, quelque part, et elle doit la faire entendre.
Que va-t-elle dire aux enquêteurs ? Son témoignage marquera-t-il un tournant dans cette affaire ? Les regards se tournent vers elle, attendant des réponses. Nisma prend une profonde inspiration. L’heure est venue de parler.
