PBLV Zoé

De retour chez Barbara, Louis prononce des mots simples et chargés d’émotion : « excuse-moi », cherchant à réparer ce qui peut l’être et à calmer les tensions qui ont surgi entre eux. Barbara, en proie à une inquiétude mêlée d’affection, lui demande directement s’il l’aime toujours et cherche dans sa voix une certitude rassurante. Louis répond avec intensité qu’il l’aime « plus que tout », exprimant la profondeur de ses sentiments et tentant de rassurer Barbara sur la place qu’elle occupe dans sa vie. Puis, d’un ton plus grave, il avoue que Chabrol détient des informations compromettantes sur le braquage de la Croix des Moulins, révélant ainsi un poids qu’il porte depuis quelque temps.

Barbara, malgré la lourdeur de l’aveu, conserve l’espoir et cherche une issue qui permettrait de protéger Louis sans qu’il ait à disparaître. Elle imagine des solutions, des compromis, des moyens légaux ou stratégiques pour contourner la menace et préserver la sécurité de tous. Louis, lui, voit les choses plus simplement et plus radicalement : il estime qu’il n’existe qu’une seule façon de mettre tout le monde à l’abri et il penche vers l’idée de disparaître. Ce contraste entre le désir de trouver une solution collective et la tentation de s’effacer crée un dilemme douloureux entre eux.

Au Mistral, Baptiste distribue des affiches « Baptiste le bricoleur » dans l’espoir de relancer son activité et de montrer qu’il reprend sa vie en main après les turbulences. En croisant Chloé, il réitère ses excuses, conscient que ses paroles ont pu blesser et qu’il souhaite désormais repartir sur de meilleures bases. Malgré ses efforts pour décrisper l’atmosphère, une tension résiduelle persiste entre eux, comme si les blessures récentes mettaient du temps à cicatriser. Les gestes d’excuse sont sincères, mais les non-dits restent, et chacun mesure combien il faut de temps et d’échanges honnêtes pour rétablir une complicité. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>