Yann Barthès n’est pas en reste. Alors qu’il sermonne sa chroniqueuse, il apparaît totalement défiguré. Pommettes gonflées, lèvres pulpeuses… Lui aussi est passé par la case bistouri ! « On commence sans elle, parce que là, elle me tend.
Cette année pour Quotidien, je veux du sérieux, des tournages, de l’action. La vérité, la vérité, la vérité. Le journalisme ! », scande-t-il.
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