Un manque que Soprano ressent encore vingt-trois ans plus tard. « C’est la grande blessure de mon existence. La loi fait que je ne peux pas savoir ce qu’est devenu cet enfant. »
« Si nous devons prendre contact, cela pourrait venir que de lui. Moi, je n’en ai pas le droit. C’est très compliqué, même si j’ai réussi à apaiser la situation avec la personne avec qui j’ai eu cet enfant. Dans l’album, je dis : ‘Le temps ne pourra jamais me rembourser, jamais me le ramener.’ J’ai perdu dix-huit ans. »
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