USGS Charles

Levars, présent à ses côtés, tente de la défendre. Il affirme avec insistance qu’elle n’a joué aucun rôle dans ce qui concerne Eliott, même s’il reconnaît certains éléments liés aux autres activités qui lui sont reprochées. La justice, cependant, reste vigilante, et les représentants de la loi rappellent à Nathalie qu’elle encourt une sanction très sévère. La perspective d’une longue privation de liberté plane au-dessus d’elle, créant une atmosphère de tension presque palpable.

Sur la plage, face au mouvement lent des vagues, Eve confie à Manu le vide profond qu’elle ressent. Elle décrit cette sensation comme un espace intérieur immense, difficile à remplir. Manu l’écoute avec attention, avec douceur, et lui rappelle que l’affection de son fils est quelque chose de réel, qu’elle ne doit jamais remettre en question.

Eve reconnaît avoir laissé parfois la colère prendre trop de place, surtout lorsque la situation semblait lui échapper. Elle avoue qu’elle s’est souvent demandé si elle avait su être à la hauteur. Manu l’encourage à laisser sa culpabilité s’alléger, à reconnaître tout ce qu’elle a donné, tout ce qu’elle a tenté. Il lui dit que personne ne peut prévoir ou contrôler le chemin d’un enfant. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>