Muriel répond avec une résolution mesurée : elle affirme qu’elle choisit de garder le silence et qu’elle ne révélera pas certains éléments qui pourraient impliquer Boris. Sa décision repose sur le désir de le protéger et d’éviter qu’il soit entraîné dans des tourments supplémentaires.
Charles confie alors ce qu’il ressent vraiment : il ne parle pas de peur simple, il évoque plutôt un poids moral profond, une culpabilité continue qui le ronge. Ce n’est pas une émotion passagère ; c’est une présence qui interfère avec ses nuits, ses pensées et sa manière d’être avec les autres.
Il avoue qu’il ne sait pas comment composer une existence normale en sachant qu’il porte la responsabilité d’un événement qui a privé son ami de sa présence. Il cherche un moyen de cohabiter avec ce fait, sans pouvoir l’effacer, et cette lutte intérieure l’épuise jour après jour. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
