Faute de réserve d’eau, lors de la grande sécheresse de cet été, il perd 95% de sa précieuse et fragile production. « Je me souviens d’un soir, en juin, où je me suis assis devant mon jardin. Je voyais tous mes fruits rouges brûlés, l’herbe brûlée… Je me suis demandé ce que j’allais devenir et je n’ai toujours pas réussi à répondre à la question »,
s’alarme l’horticulteur désenchanté qui n’a pas réussi à se dégager un seul salaire en 6 ans. « Heureusement que je suis logé chez mon père », explique-t-il.
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