Expliquant ne plus vouloir d’enfant, et avoir tenté d’avorter pendant sa grossesse, la mère évoque la peur de la violence de son compagnon, dont elle était séparée. La meurtrière présumée vit actuellement dans un foyer pour femmes battues.
L’homme, lui, a été condamné pour des violences sur son ex-compagne, et à une obligation de ne pas entrer en contact avec elle pendant quatre ans. Selon une source auprès du Parisien, « toute l’existence de cette jeune femme est centrée autour d’une relation toxique avec le père de ses enfants ».




