Iris

Au-delà des coups, il aurait également exercé une forme de violence psychologique, la menaçant de lui faire perdre ses contrats professionnels, ce qui aurait pu affecter gravement sa carrière, et de faire « virer son père », ajoutant une dimension de manipulation et d’intimidation.

Ces accusations sont d’autant plus préoccupantes lorsqu’on apprend, grâce à une enquête approfondie, que le casier judiciaire de Bruno Pelat n’est pas vierge. Celui-ci comporte déjà quatre condamnations, dont une pour des violences infligées à son propre père et une autre pour avoir agressé physiquement une précédente compagne. Ce lourd passé judiciaire renforce l’inquiétude quant à la dangerosité du jeune homme et à la récurrence de ses comportements violents.

Le tribunal correctionnel de Paris, face à la gravité de ces faits, décide néanmoins de renvoyer le procès de Bruno Pelat au 6 novembre 2024, en réponse à une demande formulée par la victime elle-même. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>