Enfin, Teyssier confie qu’il a établi le classement des élèves de première année au hasard, sans même goûter la majorité des plats. Il privilégie une pédagogie basée sur le choc et l’inquiétude, estimant que cela favorise la motivation des élèves.
Hortense, sceptique, s’inquiète de l’impact de cette méthode, se demandant si certains élèves ne risquent pas d’être renvoyés, ce qui ajoute à l’angoisse ambiante.



