« Snapchat, Instagram… ça va vite, trop vite pour nous, il faut davantage s’intéresser à nos enfants. […] Il y a trois ans, je suis retournée dans le collège où Juliette était.
Je l’ai fait parce qu’il y a encore beaucoup de gens, beaucoup de jeunes qui subissent du harcèlement ».
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