Pour justifier ce retournement de situation, la ministre s’est justifiée en évoquant l’actualité de la guerre en Ukraine, qui a précipité l’inflation dans le pays. Une inflation qui pourrait grimper jusqu’à 4,4 %, dans un « scénario dégradé » présenté par la Banque de France, contre 3,7 % dans le meilleur des cas.
« Ça n’est pas une décision politique, mais un amortisseur pour protéger le pouvoir d’achat des fonctionnaires », a indiqué le ministère à l’AFP. La dernière augmentation du point d’indice remonte à la fin d’un autre quinquennat, celui de François Hollande, qui l’avait revalorisé en février 2017, à hauteur de 0,6 %. Rendez-vous à la page suivante >>