Lina dans la rue

Ensemble, ils présentent au public et à la presse les détails liés à la découverte d’un véhicule qui, retrouvé dans le sud de la France, joue désormais un rôle central dans cette affaire. Ce véhicule fait l’objet d’une attention particulière depuis que des traces d’ADN appartenant à Lina y ont été identifiées en juillet dernier.

Le procureur se penche tout particulièrement sur les preuves découvertes à l’intérieur de ce véhicule. L’ADN de la jeune fille a été détecté en plusieurs endroits du véhicule, notamment sur les sièges arrière, ainsi que sur la ceinture de sécurité du siège central arrière et sur la partie colorée du système de boucle de la ceinture située sur le côté passager arrière droit. Un autre détail troublant est révélé par le procureur : dans la boîte à gants du véhicule, le sac à main de Lina a été retrouvé, contenant diverses affaires personnelles de la jeune fille.

Ces découvertes renforcent la piste selon laquelle elle a été présente dans la voiture. En outre, deux cordes ont été retrouvées dans le coffre de la voiture, et l’une d’entre elles présente également des traces d’ADN de Lina, ainsi que de Samuel Gonin, le principal suspect. Ces éléments conduisent le procureur à affirmer que « tout porte à croire qu’à un moment ou un autre, Lina a été ligotée ». Cependant, il est important de noter qu’aucune trace de sang n’a été détectée à l’intérieur du véhicule, un fait qui laisse place à des interrogations sur le déroulement exact des événements. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>