Le 25 juin, quelques semaines avant sa mort, il avait confié à un expert psychiatrique qu’il avait « disjoncté » après avoir perdu son emploi. Menant auparavant une vie professionnelle stable en tant que menuisier et enseignant dans un lycée professionnel, Samuel G. avait vu sa situation se dégrader au point de sombrer dans une spirale destructrice.
Il a ainsi révélé lors de cet entretien avoir été hospitalisé à trois reprises en psychiatrie, une information qui a conduit l’expert à souligner sa « dangerosité ». Avec le décès de Samuel G., l’enquête sur la disparition de Lina se retrouve confrontée à de nouveaux défis. Les enquêteurs doivent maintenant déterminer si cet homme, dont la vie semblait s’effondrer sous le poids de ses démons intérieurs, est directement lié à la disparition de l’adolescente, ou si d’autres éléments ou individus sont impliqués.
Malgré cette avancée majeure, de nombreuses zones d’ombre subsistent, et la famille de Lina, ainsi que le public, attendent toujours des réponses claires dans cette affaire tragique qui continue de bouleverser la communauté.
