Le choc est immense. Léa, submergée par l’émotion, tremble de tout son corps. Elle s’excuse auprès d’Idriss, honteuse de ne pas pouvoir lui offrir davantage de réponses. Ses mots sont brisés, ses larmes coulent, mais elle lutte pour rester debout. Idriss, de son côté, comprend que chaque détail, même minime, peut s’avérer crucial pour avancer dans leur quête.
C’est alors qu’un souvenir inattendu surgit, comme un éclat de lumière dans l’obscurité. Léa se souvient qu’il y avait, autrefois, un trou dans cette pièce. Un trou béant, aujourd’hui comblé par du béton. Cette révélation, anodine en apparence, change la donne. Elle prouve que quelque chose a été volontairement dissimulé, enterré pour effacer les traces d’un crime.
Idriss se redresse, déterminé plus que jamais. Ses yeux brillent d’une nouvelle énergie. Cette découverte alimente sa conviction : il faut aller plus loin, fouiller encore, et ne pas reculer devant l’ampleur du mensonge. L’affaire dépasse désormais leurs souvenirs personnels ; elle touche à une vérité collective, une vérité que Saint Côme a tenté de museler. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
