Subitement, Ariane s’effondre. Les larmes aux yeux, elle clame haut et fort qu’elle n’est pas une folle ni une criminelle. Elle supplie ses collègues de la croire, assurant qu’elle est victime d’un piège, d’un scénario monté de toutes pièces pour la faire tomber.
Jean-Paul revient ensuite la voir et l’informe qu’une perquisition a été menée à son domicile, en présence de sa fille Zoé. Cette nouvelle est un coup dur pour Ariane, qui se met à pleurer. L’idée que sa fille ait assisté à une telle scène la bouleverse profondément. Elle n’a qu’un désir : voir Zoé et lui parler.



