PBLV Chloé

Augustin tente de la rassurer du mieux qu’il peut. Il lui affirme qu’aucune trace ne subsiste de l’événement dramatique qu’ils ont vécu récemment. Alors qu’ils discutent au bar, Barral les rejoint. Il affirme froidement les avoir aidés. Mais Apolline doute de plus en plus. Elle le soupçonne d’avoir assassiné Durieux pour l’empêcher de parler. Ce à quoi Barral répond sans détour : « Il devenait ingérable, alors j’ai réglé le problème. » Choquée par son aplomb, Apolline murmure, bouleversée : « C’est un cauchemar… »

Et le cauchemar continue. Barral, glacial, adresse à Apolline une menace claire : « Si tu tiens à ta carrière et à ta vie, ne pose plus de questions. » À ses côtés, Augustin, son propre fils, reste figé, stupéfait par la dureté de ses paroles.

Enfin, Idriss découvre un détail troublant qui pourrait tout changer. Il apprend que Barral se trouvait à Paris le jour de l’attaque contre la juge Colbert, officiellement pour un congrès de magistrats. Mais cette information, au lieu de l’innocenter totalement, soulève une autre hypothèse glaçante : et si Barral avait mandaté un homme de main ? Quelqu’un qui aurait utilisé son arme pour exécuter son plan à distance ? Le résumé de l’épisode suivant est déjà disponible ! La suite à la page suivante >>