Pendant ce temps, à plusieurs rues de là, Djawad reçoit un paquet pour le moins mystérieux. Il a été expédié depuis la prison des Baumettes, ce qui intrigue immédiatement le jeune homme. Le colis provient d’un ancien détenu aujourd’hui décédé : Christian Santoni. Le nom réveille des souvenirs, notamment chez Louis, qui connaissait bien le défunt. Ce dernier se rappelle que le butin d’un ancien cambriolage auquel Santoni avait participé n’a jamais été retrouvé.
Curieux, Djawad ouvre le colis avec l’espoir de découvrir un indice sur le trésor disparu. À l’intérieur, il trouve quelques objets personnels : des montres, un briquet ancien, une bible… Rien qui ne permette d’éclaircir le mystère ou de mettre la main sur le magot. Déçu, Djawad laisse transparaître une forme de frustration. Il espérait peut-être que ces effets personnels contiennent un aveu ou une piste. Robbie, témoin de la scène, pense exactement la même chose : Djawad attendait quelque chose de plus révélateur.
Non loin de là, au Mistral, une scène inattendue provoque l’agitation dans le restaurant. Un client s’étouffe brusquement en mangeant. Thomas, abasourdi, découvre qu’il y avait un bouton dans son assiette. Pour tenter d’arranger les choses, il propose d’offrir le dessert au client. Mais ce dernier, loin d’être apaisé, se montre menaçant. Il parle déjà de porter plainte. Ce client pas comme les autres, c’est maître Atara, un avocat aussi redouté que déterminé. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>
