Sur la plage, Samuel retrouve Véronique, sa mère, qui occupe le poste de préfète. Son regard est grave lorsqu’il lui confie ses soupçons : il est persuadé que le véritable assassin de Fanny se trouve à Marseille. Il ne supporte pas l’idée qu’un innocent soit en prison à cause d’une erreur judiciaire. Face à sa détermination, Véronique lui rappelle une chose essentielle : elle ne pourra pas lui venir en aide une seconde fois s’il se met en danger.
Pendant ce temps, en Alsace, Idriss entre dans un bar et retrouve l’homme qu’il devait rencontrer. Ce dernier l’accueille d’un geste méfiant et lui demande d’éteindre son téléphone avant de le poser sur le comptoir. L’atmosphère est pesante, presque oppressante. Idriss sent qu’il touche du doigt une vérité bien plus trouble qu’il ne l’imaginait.
L’homme finit par lâcher une information cruciale : l’affaire Caldeira était une véritable poudrière. Elle impliquait un certain Samuel Gayet et a été soigneusement étouffée. Fanny, la victime, n’était pas seulement une connaissance de Samuel : c’était sa petite amie. Drogue, manipulation, secret… Tout porte à croire que c’est Samuel lui-même qui lui a fourni la dose qui lui a été fatale.
