Les faits présentés étaient « prémédités » et « relèvent de la qualification juridique d’assassinat », a souligné le procureur. Nathalie Stephan, 39 ans, qui présente des troubles psychiatriques importants, avait quitté son foyer vendredi à 11H00 et aurait dû ramener sa fille à 17H30 à sa référente de l’ASE. Après déclenchement du dispositif « alerte enlèvement », elle avait été retrouvée seule dimanche matin dans un hôtel de Nantes, avouant en garde à vue avoir donné la mort à son enfant vendredi.



