« Il n’y a eu absolument pas de négligence de l’ASE, je suis formel », s’est défendu M. Gillet, présent au côté du procureur. Dimanche soir, le procureur avait réitéré qu’à « aucun moment la mère n’avait par le passé mis en danger l’un ou l’autre de ses enfants ». Lundi soir, la garde à vue était « toujours en cours » et devait prendre fin mardi matin pour une présentation à un juge d’instruction pour des faits « d’homicide volontaire aggravé » en tant que mère de la victime, mineure de moins de 15 ans.



