DNA : Chloé

L’enquête prend une tournure plus complexe lorsque les policiers découvrent que Judith a un casier judiciaire aux États-Unis. Un homme l’avait accusée de violences physiques, affirmant qu’elle l’avait giflé. Cet élément trouble les enquêteurs, bien que Raphaëlle prenne sa défense avec fermeté.

Judith reste formelle : les empreintes sur le couteau ne peuvent pas être les siennes. Elle affirme s’être coupée à la main en faisant la vaisselle, un accident domestique banal, mais elle était seule ce jour-là, et donc personne ne peut le confirmer. Michaël s’entretient avec Raphaëlle au sujet des suites judiciaires possibles. Il lui explique qu’un homicide involontaire assorti de circonstances atténuantes peut être plaidé devant un tribunal.

Mais Judith reste ferme : elle n’a rien fait, et elle refuse de porter un crime sur ses épaules alors qu’elle se dit innocente. Le doute continue de planer sur la véritable tournure des événements, et l’affaire devient de plus en plus sensible. Rendez-vous à la page suivante pour lire la suite >>