Pour Patrick, cette affaire devient personnelle. Il se bat non seulement pour la justice, mais aussi pour rétablir sa propre crédibilité. Il sent qu’il marche sur un fil, prêt à rompre à tout moment. Mais il refuse de reculer, même si cela doit lui coûter cher.

Thomas, quant à lui, tente de reprendre le contrôle de sa vie professionnelle. L’annonce du délai de trois semaines le pousse dans ses retranchements. Il se met en quête de solutions, explore toutes les pistes possibles, jusqu’à envisager de vendre certains biens personnels. Pour lui, l’échec n’est pas une option.




